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French

ID: <

10.4000/agedor.354

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DOI: <

10.4000/agedor.354

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Where these data come from
La photographie mexicaine des années vingt aux années cinquante et Le labyrinthe de la solitude : muse, reflet, empreinte ?

Abstract

Sous l’influence conjointe de l’impact des images produites pendant la Révolution, de l’élan donné par le nationalisme culturel et de l’arrivée d’artistes foisonnants comme Edward Weston et Tina Modotti, les années vingt constituent un moment très riche pour la photographie mexicaine. Cette éclosion visuelle va se poursuivre et s’affirmer au cours des décennies suivantes révélant de nombreux talents. Comme Octavio Paz échangeait de façon constante et fructueuse avec les intellectuels et les artistes de son pays, nous nous risquons à affirmer qu’il s’est abondamment nourri de la culture visuelle mexicaine de la première moitié du XXe siècle. Nous tenterons donc de dresser un panorama de la photographie mexicaine des années vingt aux années cinquante en la faisant dialoguer avec Le labyrinthe de la solitude. L’idée est de rapprocher certains développements de l’essai de thématiques et de partis pris esthétiques travaillés par les photographes contemporains d’Octavio Paz afin d’observer comment cette culture visuelle a pu contribuer à façonner la mythologie de l’identité mexicaine créée par l’auteur.

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