Book
French
ID: <
10670/1.1jmc7l>
Abstract
Grâce aux riches sources toulousaines – compoix de 1680, capitation de 1695, recensement de 1790 et rôles de la contribution foncière de 1791 – il est possible d’analyser plusieurs aspects de la population toulousaine à la fin de l’Ancien Régime. Tous les quartiers toulousains ne sont pas égaux devant la densité de la population ou devant les évolutions qui se font jour au XVIIIe siècle. De même, les formes de l’habitat – nombre d’étages, nombre de corps de bâtiment, par exemple – varient aussi entre les quartiers densément peuplés près du parlement et les quartiers plus aérés dans le nord de la ville, dans les faubourgs et le gardiage.