Abstract
La question des formes de dysfonctionnement et de malaises dans les ensembles d’habitat collectif et l’évaluation de leur intensité demeurent encore insuffisamment explorées, particulièrement dans les villes sahariennes alors que ce type d’habitat tend à devenir une forme importante du paysage urbain. Cette recherche se propose d’apporter un éclairage à travers le cas d’une cité d’habitat collectif située dans une Z.H.U.N à Biskra. L’objectif étant d’interroger la nature des relations sociales dans cette cité et de mesurer le degré d’anonymat et les formes de solidarité qui lient entre eux les habitants. Afin de répondre à notre questionnement, une enquête par questionnaire a été conduite auprès d’un échantillon de 250 habitants.