Une fouille archéologique ponctuelle a permis de valider l’hypothèse d’un premier camp en bois construit en sablières basses, trous de poteaux et peut-être en murs en pierres sèches. Ces éléments s’ajoutent à ceux reconnus par Michel Reddé, dont le titulum en avant de la porte. La pauvreté du matériel recueilli n’apporte aucun élément nouveau dans la datation du camp : camp en terre et bois tibéro-claudien et camp en dur construit à la fin du règne de Néron, abandonné sous Domitien.