L’auteure étudie les mouvements d’argent qui concernent la musique traditionnelle dans la Croatie d’hier et d’aujourd’hui et qui est porteuse d’un capital économique, social ou symbolique. En examinant la période postsocialiste, elle attire l’attention sur le lien de plus en plus intime entre capital culturel et capital économique, et estime que l’étude classique de « la politique et de la poétique » devrait être complétée par une étude de « l’économie », cette dernière étant le troisième aspect essentiel de la culture musicale.