Article
French
ID: <
10670/1.mqne2d>
Where these data come from
Abstract
Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l’idée communément admise était que l’Église de Belgique avait fait son devoir envers les Juifs victimes des persécutions nazies. Ce sentiment de “devoir accompli” était encouragé par les plus hautes autorités de la communauté juive qui, dès la Libération, avaient témoigné leur reconnaissance à l’Église, ce qu’avait fait notamment le grand rabbin de Belgique Salomon Ullmann envers le cardinal Joseph-Ernest Van Roey, primat de Belgique et archevêque ...