« Golšīrī češm-e mā būd ». Kārnāme, n° 21, (mordād-šahrīvar 1380/2001), pp. 24-25. [Golšīrī était notre œil]
Review
French
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Abstract
Paraphrasant une phrase célèbre, Nabavī, journaliste et humoriste, se souvient d’avoir rencontré Hūšang Golšīrī pendant les années cruelles et dramatiques où Mīr-ʽAlā’ī, Moḫtārī et Pūyande disparaissaient brutalement ; années de terreur pour les intellectuels et les écrivains iraniens. Nabavī, jeune écrivain, évoque ces premières rencontres qui furent pour lui déterminantes dans son métier, et il raconte l’annonce brutale de la mort de Golšīrī à Téhéran, alors qu’il était lui-même en voyage, ...