Abstract
Chez des personnes présentant une déficience motrice ou sensorielle, les activités physiques artistiques peuvent susciter des résistances et des attractions que l’on s’efforce ici de comprendre. Au-delà de ces aspects psychologiques plus ou moins partagés par ces personnes, il s’agit également de voir dans quelle mesure les déficiences en question constituent des obstacles à la pratique de la danse et des arts du cirque et de proposer des stratégies pédagogiques adaptées. Pour conclure, on s’interroge sur les finalités qu’un enseignant peut attribuer à cette pratique par des personnes dont l’intégrité organique est altérée.