Abstract
Cette thèse porte sur les adjectifs évaluatifs : bon, mieux, mauvais, beau, beau, amusant ou cruel. Je défends une forme de non-factualisme, à savoir l'idée que les expressions évaluatives n'offrent pas d'informations sur le monde. Au lieu de cela, ils expriment et coordonnent les engagements des interlocuteurs en matière d'action. Mais les adjectifs évaluatifs sont graduels, autrement dit ils acceptent différents degrés. Par conséquent, la théorie non-factualiste doit être formulée de manière à ce que les expressions évaluatives puissent exprimer des engagements pratiques avec une structure scalaire appropriée.