Le crime dit passionnel : le paradoxe d’une violence supposée normale
Article
French
ID: <
50|dedup_wf_001::d47e5a1227572035d501a1de4e4bdfb3>
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DOI: <
10.7202/1005712ar>
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Abstract
Contrairement à d’autres crimes commis au sein du cercle familial, le crime passionnel, pourtant très visible socialement, n’a jamais fait l’objet d’une critique sociale ou psychologique efficace comme c’est le cas pour l’infanticide depuis longtemps déjà, ou plus récemment pour les abus sexuels ou le viol conjugal.Sur la base d’un corpus de 337 crimes et d’outils d’analyse variés, nous soulignerons trois aspects :