Other
French
ID: <
http://hdl.handle.net/20.500.12162/1082>
Abstract
Lire nécessite l’acquisition et la mise en œuvre de différents processus cognitifs (Dehaene et al., 2011 ; Goigoux & Cèbe, 2006). Chez une proportion non négligeable d’enfants (stable depuis 2006 selon PISA 2015, OCDE), cet apprentissage ne s’effectue pas de manière fluide. Certain·e·s présentent des difficultés dans la mise en place et l’automatisation de la procédure dite d’assemblage permettant de décoder tout mot nouveau, d’autres dans celles de la procédure d’adressage permettant une reconnaissance correcte et rapide des mots connus orthographiquement. D’autres encore, cumulent ces deux difficultés et/ou présentent des difficultés de compréhension. De nombreux dispositifs ont été conçus afin d’aider les faibles décodeur·deuse·s présentant une déficience intellectuelle, celles et ceux souffrant d’une dyslexie développementale... Ces aides, initialement conçues pour une utilisation par les orthophonistes, se trouvent aussi très souvent utilisées par les enseignant·e·s ordinaires et/ou spécialisé·e·s.